Ultime recueil, affirme le poète et historien d’art Raphaël Mérindol. Doit-on le croire ? Le plus souvent empreint d’une profonde solitude, gorgé de la mélancolie de ses inspirateurs (Verlaine, Apollinaire, Baudelaire), voici un bel “Automne extraordinairement apaisant, au génie tel qu’il charme même la meute des souvenirs”, où l’influence de la poésie japonaise ne se cache pas. Le peintre Pierre Cayol illustre ce volume.